Terminator : Dark Fate - 2019

D'un point de vue purement divertissement j'ai bien aimé. D'un point de vue fan de Terminator, la machine à tuer implacable, tu peux pas négocier! Rien ne l'arrête, tu es sa cible, il est le Terminator! (Kyle Reese, enfin je paraphrase). C'était le premier film Terminator. Dans Dark Fate, wokisme oblige, le terminator...change des couches. Sans se plaindre! Parce que c'est bien ce qu'attendent les hystéros du Neo Féminazisme. Je le réécris parce que c'est dur à croire, le terminator... CHANGE DES COUCHES! UN BOUTE EN TRAIN, c'est lui-même qui le dit. Dans une franchise qui a pourtant introduit un des personnages féminins les plus badass qui soient, dès les années 80/90! Bah non ça suffit pas, il faut aussi castrer l'homme musclé de service! Et tuer celui qui aurait pu mener l'humanité à la victoire, parce que c'est un homme donc non, on préfèrera effacer purement et simplement la principale icône de la franchise pour réécrire la même, mais en femme, c'est tellement important de faire sentir aux hommes (sauf trans) à quel point on les hait. Bref bon divertissement si on débranche sa conscience politique, sinon c'est un enfer. Ou un paradis pour certains, surtout certaines. Pour moi c'est la première option. Avant de me traiter de moustachu, ou affirmer que le wokisme n'existe pas et que je fantasme (alors que non moi mes fantasmes sont plutôt d'ordre s*xuels), Cameron lui-même valide et soutient le virage woke amorcé dans ce film. Et d'autant que, je le répète, j'ai bien aimé, dès lors que je me suis abstenu d'y voir autre chose qu'un divertissment. Au point que je l'ai vu plusieurs fois. C'est juste que au cours de l'un de ces visionnages je n'ai pas pu m'empêcher d'en faire une lecture du message, éminemment politique, en filigrane.